MAXIMINE

Maximine Lagier-Durand est née en le 29 septembre 1952, à Saint-Claude, dans le Jura. Maximine, son nom de plume, est aussi son vrai prénom comme il fut celui de sa mère et de sa grand-mère, qui toutes deux rêvèrent d’écrire.

Après son baccalauréat, en 1970, elle a la chance de pouvoir poursuivre des études de lettres au lycée Fénelon, puis en Sorbonne, sanctionnées par une agrégation en 1975.

Sa vie professionnelle se partagera entre enseignement et bibliothèques, principalement à l’Institut National de Recherche Pédagogique, puis à la bibliothèque de Moret-sur-Loing. Dans ce cadre, elle découvre la magie des contes et des berceuses qu’elle prend plaisir à composer.

Mariée de 1988 à 1996, elle aura quatre enfants et accueillera une petite fille chinoise.

Encouragée par Georges Mounin, elle publie en revue quelques poèmes – qui prennent presque toujours la forme de douzains d’octosyllabes – et quelques notes critiques (notamment dans Critique, Paroles d’aube et Arpa).

Grâce à Jean Toulet, arrière-neveu du poète, elle effectue également quatre séjours en Chine, où ses poèmes sont édités en deux livres d’art.

En 1990-91, elle entreprend une nouvelle traduction de poèmes de Rainer Maria Rilke : les Élégies de Duino, les Sonnets à Orphée et le Livre de la Pauvreté et de la Mort.

Elle vit à Paris, fidèle comme Colette à son pays natal et comme elle disant : « J’ai quitté un pays où j’ai laissé mon cœur » (La Naissance du jour).

♦♦♦   Lire l’entretien avec Sophie Lhuillier

OUVRAGES PUBLIÉS AUX ÉDITIONS ARFUYEN

L’ombre la neige

Un Cahier de pivoines

Au front des sapins

Somme d’amour